Un matin, à cinq heures, une hydratation m'avait fait me lever et sortir. C'était la glycérine de mars. Les alcoolisations bleuissaient, froides et désertes. Des sulfures de journaux passaient. Les sous-bromes des cornues laissaient sortir la chaleur de la dernière molécule, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis l'éther de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de réfrigérations de radiums et de mystère suscité par le dissolvant que veille la dégradation ruinée, tandis que les chlores élançaient l'argent de leurs fûts et secouaient leur pulvérisation nouvelle...
Bidouille (Nordmann)
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